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Quand on vit en expat, tout prend une saveur particulière. Les galères sont bien souvent amplifiées mais les petits moments de bonheurs le sont encore plus, eux aussi. Comme rentrer en week-end ou en vacances chez soi. Ce lieu où l’on a grandi et que l’on a cherché à fuir le plus vite possible tant la vie y était « ennuyeuse » ou « pas assez trépidente » vu de la fenêtre d’une ado, devient soudainement un petit coin de paradis… La magie de la vie d’expat…

Et en bonne accro à Instagram (@lesjoiesdelondres) et fidèle à mes « petites joies », j’immortalise ces petits moments de bonheur sur mon réseau social préféré à chaque retour au bercail, de quoi illustrer correctement ces quelques lignes.

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  • La première “petite joie” de rentrer chez soi, c’est l’excitation qui s’installe au moment de faire sa valise. Quand on rentre chez ses parents, pas besoin de prendre brosse à dent, dentifrice et autres accessoires encombrants. On part un peu les mains dans les poches, et même si on oublie quelque chose, ce n’est pas très grave.
  • C’est aussi cette sensation de joie un peu unique qui s’installe le jour du départ. On se sent un peu invincible le temps d’une journée. Rien ne peut nous arriver, on se sent tout léger et simplement heureux. Ce soir on dort à la maison. Le genre de petit bonheur vraiment très simple duquel on aurait jamais cru ressentir une telle joie! Et pourtant…
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  • En allant prendre le train, généralement après le travail depuis la gare de Blackfriars pour ma part, j’aime prendre le temps d’admirer une dernière foie ma belle ville en profitant de la vue imprenable sur Tower Bridge et La City depuis le quai de Blackfriars. Pas mal pour une dernière vue sur Londres.
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  • En arrivant à Gatwick, l’aéroport qu’on commence à connaître dans les moindres recoins, les choses sérieuses commencent. Quel meilleur endroit qu’un aéroport pour ressentir cette sensation d’évasion? Même si la destination n’est pas très exotique ou originale, il n’y a pas d’autre endroit où l’on aimerait aller.
  • Pendant le vol, c’est très souvent l’occasion de jolies rencontres. Des discussions improvisées, des gens aux parcours et histoires différentes mais toutes aussi passionnantes avec qui on partage 1h30 de notre vie, et que l’on ne reverra surement jamais. Des mini tranches de vies un peu uniques, elles aussi.
  • Quand l’avion se pose. C’est le début du bonheur. Plus que quelques minutes, et on y est!
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  • Et puis ces premiers pas quand on descend les marches de l’avion, en terre connue, sont quant à eux les plus agréables. Je me surprends toujours à sourire bêtement dès que je sors de l’avion et que je fais mes premiers pas sur le tarmac de l’aéroport de Toulouse. Les quelques degrés de plus, cet air étrangement familier, les Belugas et autres nombreux avions Airbus que l’on aperçoit au loin. Un petit moment de kif vraiment unique. Je n’avais jamais pensé pouvoir reconnaître un endroit simplement par une différence d’air…  Encore une de ces choses que la vie d’expat nous fait découvrir!
  • Et enfin, il y a ce moment précieux où on aperçoit le regard et le sourire de nos proches. Ma maman, toujours fidèle au poste, et son petit « hello Elo » :) Des retrouvailles rien qu’à nous et quelques secondes de bonheur partagé entre mère et fille. Une de nos “nouvelles” habitudes que l’on échangerait finalement pour rien au monde.
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  • Il y a aussi la première nuit. Toujours parfaite et réparatrice du manque de sommeil des 3 derniers mois qu’imposent la vie londonienne à 1000 à l’heure. On s’endort au son des grenouilles ou des grillons au loin, et on se réveille généralement sous un magnifique ciel bleu. Le rêve…
  • Rêve qui se poursuit au petit matin par un premier petit dej’ au calme dans le grand jardin. Ça change de la cuisine à partager avec 3 autres colocs ou du balcon de 5 mètres carrés (et encore, c’est déjà cool d’avoir un balcon!)
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  • Le reste du séjour, court ou long, n’est fait que de moments parfaits: Les petits tours immanquables chez la famille (surtout mon petit passage à Frouzins ;) et les amis, les nouveaux apparts des uns, nouvelles maisons des autres, bébés des copines qui grandissent bien vite, les bons petits plats de notre maman, dignes de n’importe quel bon restaurant, les légumes du jardin, les vraies tomates rouges et un peu diformes – pour changer de ces étranges légumes orange/rouge fluos, parfaitement arrondis et croquants que l’on trouve dans tout bon Tesco ou Sainsbury’s.. C’est ce qu’on appelle des “British Tomatoes ” – Les siestes sur le hamac l’été, les lectures au coin du feu l’hiver, les balades dans les jolis villages alentours… Des moments précieux qui auraient été sans grand intérêt en vivant sur place mais qui prennent un sens tout autre vécus de cette façon.
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  • Et puis arrive le moment du retour. Parfois il pique un peu, (surtout le tout dernier) mais une fois arrivé dans notre autre « home sweet home », de l’autre côté de la manche, la vie reprend son court, et pour ma part, c’est toujours avec bonheur que je reprends mon quotidien londonien. Celui qui me permet de vivre mes rêves, d’être devenue une femme indépendante, d’être passionnée et fascinée par mon travail, de me sentir accomplie et épanouie dans ma vie, même si je n’ai pas forcément respecté le schéma social auquel j’étais plutôt destinée. Je ne dis pas que je ne le suivrai jamais, mais rentrer chez soi, c’est aussi souvent l’occasion de mesurer la chance qu’on a de vivre ce que l’on vit d’une part, de se rappeler d’où l’on vient, de garder ces valeurs solides qu’on a reçu, et de ne jamais oublier à quel point on a la chance d’être entourés de gens si spéciaux. Je pense en particulier à toute ma famille, mes parents, toujours au top du top, et mes cousins et cousines, mes modèles d’enfance et d’adolescence dont je suis toujours aussi fan. Bizarrement, la distance rapproche de façon assez étonnante.
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« Dans 20 ans, vous serez plus déçus par les choses que vous n’avez pas faites que par celles que vous avez faites »

Mark Twain.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Sud Ouest[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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